Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~
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Sheila Phénix « Désolée, je me suis perdue dans ma chambre... »
Activité : Très Actif Messages : 192 Date d'inscription : 01/04/2014 Age : 26 Localisation : Perdue quelques part (enfin je crois que je suis quelque part)
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Sujet: Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~ Dim 5 Avr - 19:46
Pour passer le temps ~
Il était temps !
Et bien voilà, il était temps que je mette mes histoires ici ! Après tout, c'est mon premier fow donc je vous dois bien ça ! Soyez indulgent avec moi :3
Pour que tout le monde s'y retrouve, je ne vais pas poster dans 36 milles catégories parce que ce serait assez horrible ! Je vais donc tout mettre dans ce post et l'éditer à chaque fois parce que je vous aime ♥ Et ne vous inquiétez pas, ce sera sous spoiler histoire que votre page ne mette pas trois heures à charger ^o^
Et donc, je vais arrêter de raconter ma vie et vous présenter la première histoire.
1789, les fées à la Bastille Voilà une petite fanfiction sur Fairy tail pendant la Révolution française ! De mon point de vue, l'histoire devient intéressante au troisième chapitre donc soyez patient ! Et pour tout les fans des couples de Fairy tail, oui il y a du NaLu et oui j'ai aussi mis du GaLe :3
Chapitre 1 ~ La nièce de Marie-Antoinette:
Chapitre 1 : La nièce de Marie-Antoinette
Les rideaux étaient fermés mais un rayon de soleil se faufila entre deux et tomba sur le lit où une jolie jeune femme aux cheveux blond dormait. Le filet de lumière chatouilla le visage de la dormeuse qui ouvrit ses beaux yeux noisette. Elle se releva et regarda la chambre. Versailles était magnifique, sertie d'or et de rouge. Ses sourcils se froncèrent quand elle remarqua l'absence de sa servante, Mina. Ce n'était pas normal. La blonde repoussa ses couvertures et se leva. Elle portait une chemise de nuit blanche et voulait enfiler autre chose. Non pas qu'elle ne pouvait pas s'habiller toute seule mais, mettre une robe digne de son rang n'était pas aisé. La jeune femme s'approcha de la porte mais celle-ci s'ouvrit et Mina entra. La servante s'inclina et déclara d'une voix empressée :
- Votre Altesse ! Il faut nous dépêcher, votre parrain le Duc de Provence sera là dans peu de temps.
La servante courrait dans tout les sens et tournait autour de la princesse lui enlevant ses vêtements de nuit et l'aidant à mettre une robe. Elle parlait avec animation de la chance que la princesse avait d'avoir été invitée ici et la remerciait beaucoup de l'avoir choisis comme dame de compagnie pour l'accompagner à Versailles. Des coups porté à la porte interrompirent la servante qui alla ouvrir. Le Duc de Provence entra.
- Bonjour Lucy. Je suis ravi de vous voir dans notre capitale. - Mon parrain. s'inclina la jeune fille. Votre invitation m'a fait grand plaisir mais, comme vous l'avez remarqué, je n'ai pris que quelque bagages. Oh, je vous présente Mina, ma dame de compagnie.
La servante s'inclina. Lucy offrit un sourire à son parrain. Il lui apprit qu'elle était attendue dans les appartements de la reine. La princesse et sa dame de compagnie suivirent le Duc mais ce dernier les laissa au premier embranchement pour aller voir le roi. Les deux femmes, visitèrent les différents couloirs du château, avant d'arriver devant la suite de la reine de France. Mina ouvrit les doubles portes et laissa entrer sa maîtresse. Les appartements royaux devaient être les plus beaux de tout le palais. La reine dessinait tandis que ses enfants jouaient. Quand ils aperçurent Lucy, ils se précipitèrent vers elle en piaillant qu'ils voulaient jouer avec elle. La reine releva la tête en entendant ses enfants appeler la princesse. Elle se leva et serra Lucy dans ses bras :
- Ma nièce, je suis heureuse que vous ayez acceptée mon invitation. - Elle m'a fait plaisir et je me suis empressée de venir. La vie en Autriche est forte ennuyeuse. - As-tu fait bon voyage ? - Oui. Tenez, Mina, viens ici ! Ma tante, je vous présente Mina, ma dame de compagnie.
La servante s'inclina. Lucy demanda à la reine ce qu'elle dessinait. Cette dernière lui montra le croquis de ses enfants. Elle avait un talent indéniable. La princesse s'agenouilla sur le tapis et commença à jouer avec ses cousins et ses cousines. Mina avait trouvée une amie en la servante de la reine et les deux femmes discutaient de la chance d'être les dames de compagnie de la famille royale. Lucy s'enquit de la situation en France :
- Nous n'avons guère plus d'argent, commença Marie-Antoinette, le peuple souffre car il ne peut plus acheter et se nourrir. Il commence à se révolter. De plus, l'apparition de philosophe qui prônent la république et leur liberté donnent des idées aux paysans. Mon mari doit faire face mais heureusement que ses frères sont là pour l'aider. - Comment le peuple ose-t-il se révolter ? Le peuple doit la soumission au roi ! Vous lui offrez la protection ! s'insurgea Lucy.
La reine eut un sourire. Sa nièce avait le sens des responsabilités et savait où était sa place. Elle ne trahirait jamais le roi et peut-être même l'aiderait-elle. Et puis, sa nièce avait des pouvoirs magiques comme dix pour cent de la population. C'était aussi cela qui effrayait la reine et la réveillait en sursaut la nuit. Les révolutionnaires allaient tout faire pour ameuter le plus de gens possible et surtout des mages sachant que le gouvernement en était dépourvue. La reine interrogea sa nièce sur la nature de ses pouvoirs :
- J'utilise la langue des dieux qui me permet de contrôler les éléments. Par exemple...
Lucy parla dans une langue inconnue, une langue fluide et coulante comme de l'eau. Aussitôt, un léger vent se mit à souffler dans la pièce, faisant voler les cheveux et les robes. Le sourire de Marie-Antoinette se fit plus grand. Avec un pouvoir comme celui-ci, le gouvernement allait mater la révolte en peu de temps.
Chapitre 2 ~ Les idées neuves du peuples:
Chapitre 2 : Les idées neuves du peuple
De jour comme de nuit, certaines rues de Paris n'étaient pas des lieux fréquentables tout comme certaines auberges. Une silhouette habillée de noir se faufilait entre les hommes ivres mort allongés sur le trottoir et les filles de joies qui proposaient leur services aux hommes. Elle marchait d'un pas rapide et s'arrêta devant une petite auberge. Elle poussa la porte et entra. Tout le monde se retourna pour voir le nouveau venu qui enleva sa cape. Il avait les cheveux roses et une écharpe blanche autour du cou. L'un des hommes qui était assis se leva et tout le monde put voir qu'il avait oublié de mettre ses vêtements sauf un caleçon qui protégeait sa virilité. Il avait les cheveux noir et un sourire moqueur en voyant son ami :
- Natsu ! Tu en as mis du temps ! - Toi aussi tu en aurais mis du temps si tu étais recherché par le roi Grey. Et, au passage, tu à encore oublié de mettre tes vêtements ! - Alors ? Quels sont les nouvelles ?
L'homme qui avait parlé était plutôt grand, les cheveux brun, et avait un carnet à la main. Il s’appelait Maximilien de Robespierre. C'était un philosophe, un grand philosophe. Natsu se tourna vers celui-ci et lui annonça que la nièce de la reine était en ville. Un grand sourire vint éclairer le visage du philosophe qui retourna en vitesse s'asseoir à une table où était étalé des papiers couverts de mots et de dessins. Des idées et des plans. Grey et Natsu suivirent Robespierre vers cette table et observèrent les papiers sans les toucher car ils savaient qu'ils étaient placés dans un ordre précis et ne voulaient en rien chambouler l'organisation de leur ami.
- Parfait, commença le philosophe, elle fera certainement un voyage en ville. On l'aura à ce moment là et pourront demander une rançon contre elle. - Et si...
Mais Natsu ne put finir sa phrase que la porte s'ouvrit à la volé sur un jeune homme aux longs cheveux noirs et en uniforme militaire qui regarda autour de lui et se mit à brailler qu'il voulait la voir. Personne ne répondit ou ne bougea. Les clients de l'auberge osaient à peine respirer et l'aubergiste regretta soudain d'avoir ouvert ses portes à ces révoltés. Il poussa un profond soupir et s'attira un regard noir du nouveau venue.
- Tu sais où elle est toi ? Tu vas me le dire tout de suite où je fais un rapport à mes supérieurs et ils fermeront ton tripot... - Gajil ! Pourquoi tout ce raffut ? demanda une femme aux cheveux rouge en se levant
Elle s’appelait Erza et travaillait comme tueuse à gage. Elle avait le pouvoir de faire apparaître toutes les armes et toutes les armures qu'elle voulait. Elle était recherchée dans tout Paris mais restait insaisissable. A côté d'elle se tenait Jellal qui essayait désespérément de la séduire mais qui n'y arrivait pas. Il avait les cheveux bleu et un tatouage rouge autour de l’œil droit. Il ne travaillait pas et suivait Erza dans ses contrats sans jamais parvenir à tirer d'elle plus qu'un sourire. La jeune femme regardait posément le militaire qui s'était tut.
- Sachez Major que menacer l'homme qui nous accueille ne sert à rien si vous ne précisez pas l'objet de votre recherche. - Je pourrais te faire arrêter tu sais... - Vous devriez plutôt me montrer du respect comme je vous en porte. Vos soldats n'ont jamais réussi à m’attraper et vous non plus. Je me demande souvent pourquoi vous êtes vous engagez à nos côtés. - Je suis venue pour la protéger alors où est-elle ?
Erza haussa les épaules. Le major ne précisait pas qui il cherchait donc personne ne pouvait l'aider. Il continua de toiser tout le monde jusqu'à ce que la porte s'ouvre de nouveau et laisse passer un rayon de lumière qui ébloui chaque client. Une jeune femme aux courts cheveux bleu venait d'ouvrir la porte et semblait surprise de la tension qui régnait dans cette auberge. Elle avait un livre à la main, chacun la regarda. Gajil laissa échapper un soupir soulagé et s'approcha d'elle avec un «Ah ! Vous êtes là !». Natsu et Grey se regardèrent. Erza et Jellal firent de même. Ils venaient de trouver la raison pour laquelle le major était devenue un révolté et cette raison était Reby MacGarden, la femme qui travaillait aux archives du roi et les aidaient en rapportant des plans ou des informations du château et de la vie du roi et de sa cour. Seul Robespierre semblait ne pas avoir été touché par l'entrée du Major et de l'archiviste.
- Natsu, quel était ta question avant que ces deux là chamboule tout ? - Ma question ? répondit inutilement le jeune homme - Oui, tu as dit «et si»... - Ah ! Et si la nièce de la reine avait des pouvoirs ? - Oui elle en a. répondit Reby à la place du philosophe. Elle parle la langue des dieux qui lui permet de contrôler les éléments. Natsu, votre feu serait inutile face à elle à moins de bloquer ses pouvoirs. Et puis, pour la rançon, c'est la filleule du frère du roi. Autre choses, elle est anti-révolution et la rattacher à notre cause serait aussi difficile que de l’enlever.
Natsu était un mage de feu et il détestait se sentir impuissant. Il se promit de tout faire pour garder le contrôle de son feu d'autant plus qu'il avait été désigné pour la garder quand Robespierre et Gajil l'enlèveraient. Pour l'instant, le major semblait très impressionné par les informations récoltés par sa protégée. Celle-ci s’intéressait de près à la publication d'une Encyclopédie écrite par tout les philosophes de ce temps. L'époque où le peuple s'écrasait sous la monarchie était révolue. Le Tiers-Etats entier s'employait à changer les conditions. Erza était aller payer le fraisier qu'elle avait manger et déclara qu'elle avait un nouveau contrat avant de partir suivit de Jellal. Natsu remit sa cape et s'en alla. Si l'aubergiste se rendait compte qu'il avait sous son toit un homme recherché pour vol dans le palais royal, il allait appeler la garde et leur campement serait découvert. Grey était un marchand connu grâce à son réseau mondial. Il pouvait donc rester dans cette auberge autant de temps qu'il voulait même si certains trouvaient étrange de voir ce marchand riche ici. Le philosophe et l'archiviste étaient plongés dans une grande discussion sur l'écriture d'un chapitre de l'Encyclopédie.
- Il faudrait évoquer l'idée d'une assemblée de ministre composé de représentant de la noblesse, du clergé et du tiers-état. Maximilien, c'était une de vos idées. Je suis surprise que vous ne l'ayez pas proposé. - Ajoutons aussi les droits que les hommes … - … et les femmes. - Les droits que les hommes et les femmes ont de naissance. Nous avons tous la même origine.
Le philosophe ajoutait et rayait des mots ou des phrases au fur et à mesure de la discussion. Gajil s'était assis et écoutait distraitement Grey qui parlait de son commerce d'épice. Avisant le livre que Reby avait ramené, le major le prit et l'ouvrit. C'était les plans de Versailles avec les passages secrets et les souterrains. Une clameur retentit et les portes du tripot s'ouvrirent à la volées. L'aubergiste grimaça. Si les gens persistaient à ouvrir les portes ainsi, il allait bientôt devoir les faire réparer mais comme l'argent manquaient, il devrait fermer boutique. Une femme entra. Elle avait une cascade de cheveux brun et les clients la reconnurent tous. Robespierre s'empressa de ranger toutes ses feuilles et Reby cacha le livre qu'elle avait amenée. Gajil se leva et se rapprocha de l'archiviste. Kana Alperona venait chercher les impôts. Elle s'avança et regarda autour d'elle. Les murs étaient en pierres grise, sans décoration. Il n'y avait qu'une seule fenêtre crasseuse qui ne laissait passer aucune lumière. Les tables et les chaises étaient en bois qui semblait pourri et les verres ne devaient pas être en meilleurs état. Elle qui aimait boire ne viendrait jamais dans un endroit aussi insalubre. Elle fit quelque pas dans la pièce et demanda à ses gardes de laisser la porte ouverte.
- Eh bien, je suis surpris de vous voire ici monsieur Grey Fullbuster. Qu'est-ce qu'un grand marchand comme vous fait ici ? - Je voulais un peu de calme. - Et vous, MacGarden, l'archiviste du roi ? - Je suivais Gajil. - Redfox ? Vous êtes un major. Pourquoi cet endroit ? Enfin, je ne suis pas venue pour faire un interrogatoire mais, (elle se tourna vers l'aubergiste), Macao, tu as de l'argent en retard, l’État ne peut pas toujours fermer les yeux. Il est temps de payer. - Je n'ai plus d'argent... S'il vous plaît, laissez-moi un peu de temps... - Avec tout les grand client qui viennent, tu devrais les faire payer. Mais puisque que tu ne peux, tu seras emprisonné à la Bastille pour un mois. Garde ! - NON ! se défendit Macao. J'ai un fils, je suis la seule personne qui lui reste ! Que va-t-il devenir si vous m'emmener ? - Ce n'est pas notre problème. répondit la jeune femme
Les gardes entourèrent Macao et l'emmenèrent de force dehors. Kana demanda à tout le monde de vider les lieux et sortit quand le dernier client fut dehors.
Chapitre 3 ~ Le vol :
Chapitre 3 : Le vol
Mina tournait autour de Lucy et s'extasiait du bal que la reine donnait en l'honneur de sa nièce. La jeune blonde était heureuse. A dix-neuf ans, elle avait tout. Elle était belle, magicienne et avait une vie parfaite. De plus, elle avait vécu toute son enfance en Autriche et rêvait de voir Versailles, de vivre avec sa tante, ses cousins et son parrain. Ce rêve c'était réalisé. Et voilà que sa tante donnait un bal pour son arrivée dans la ville. Elle allait rencontrer toute la haute société de Paris. Et si Mina n'était pas entrain de lui tourner autour pour arranger sa robe de bal, elle aurait sauté de joie dans toute la pièce malgré le fait que cela soit peu digne d'une princesse. La robe de la jeune blonde était sublime : d'un rose pâle, presque blanc et ornée de fleurs dorées. Ses cheveux étaient relevés sur sa nuque en une coiffure compliquée. Son parrain vint la chercher accompagné du couple royal, de leurs enfants, et d'une partie de la cour. La jeune femme accepta le bras que lui tendait galamment le compte d'Artois, frère du roi. Ils passèrent dans plusieurs couloirs paré d'or pour enfin arriver dans la galerie des Glaces. Lucy ne put retenir une exclamation de surprise. La salle était magnifique. Sur l'extérieur dix-sept fenêtres hautes et cintrées faisaient entrer la lumière et, en face, dix-sept miroirs leur répondaient. Des statues d'or tenaient des lustres de cristal. La voûte était entièrement peinte de scènes de guerres et de dieux romain. C'était la pièce maîtresse du château, celle où se donnait les plus grands bals. Devant les invités s'étendait bien plus qu'une simple salle, ils valsaient aux rythmes de la musique au milieu d'un chef-d'oeuvre. Et bien sûr, l'or était encore et toujours présent, entourant les fenêtres et les fresques du plafond, parant les statues et les murs de marbre. Lucy resta un instant à l'entrée pour profiter de ce spectacle incroyable. Puis elle remarqua les couples qui dansaient au rythme de la musique et entra. Sa tante tint à lui présenter certains noble et l'accompagna face à un couple. La femme avait les cheveux bleu et cours et l'homme avait de long cheveux noir. Un paradoxe certains, renversant les conventions.
- Ma nièce, je vous présente notre major, Gajil Redfox et sa fiancée, Reby MacGarden, l'archiviste.
Ils s'inclinèrent devant la princesse et se regardèrent. Robespierre leur avaient demandé de rester près d'elle. La reine l’entraîna ensuite vers une jeune femme aux cheveux brun et le couple qu'ils venaient de rencontrer les suivirent. Marie-Antoinette présenta sa nièce à celle qui prenait les impôts.
- Votre altesse, fit-elle en s'adressant à Lucy, sachez que Paris est une ville bien ingrate. - Allons, que vous est-il arrivée ? - Figurez-vous que je suis allée chercher les impôts dans une auberge minable ce matin et que l'aubergiste ne voulait pas payer ! - Quel toupet ! - Il m'a dit qu'il n'avait plus d'argent et devait s'occuper de son fils... ha ha ha ! - Qu'il est drôle, ils ont toujours une excuse quand il s'agit de ne pas payer... ha ha ha !
Derrières les deux femmes, un jeune garçon aux cheveux noir baissa la tête. Elles parlaient de son père avec tellement de désinvolture. Une main se posa sur ses cheveux et il releva la tête. Grey le regardait et se retenait pour ne pas faire de scandale. Il ne pouvait croire qu'ils allaient enlever cette femme-là. En liberté, elle était insupportable alors il n'osait imaginer ce que cela donnerait une fois captive. La reine et sa nièce s'approchèrent d'eux et ils s'inclinèrent. Gajil et Reby s'étaient encore approchés et avaient écouté d'un air dégoutté la discussion entre la princesse et Kana. Pour ne point paraître impoli, Gajil et Grey invitèrent la jeune femme à danser mais elle choisit le riche marchand au major qui avait déjà une fiancée. Ils valsèrent sur le carrelage couleur cuivre. Le bal se finit tardivement. Mina accompagna sa maîtresse jusqu'à sa chambre. Elle aussi avait danser. Les deux femmes parlèrent tout en parcourant les couloirs orné de tableaux, de statues et éclairés de bougies. Puis elles arrivèrent devant la chambre de Lucy. Cette dernière poussa la porte et eut la désagréable surprise de trouver un individu portant une cape qui cachait son visage entrain de fouiller dans ses bijoux. Elle murmura à Mina de partir chercher le major ou la garde et la servante s’exécuta.
- Que faites-vous dans ma chambre ?
L'intrus releva la tête et regarda la personne qui avait parlé. Puis il esquissa un geste vers la fenêtre mais des branches les condamnèrent et le bloquèrent. Lucy s'approcha et enleva la capuche qui couvrait la tête du voleur. Il avait des cheveux roses et des yeux noir. Elle ne pu s'empêcher de le trouver joli garçon. Ce dernier la regarda. C'était donc elle qu'il devrait garder. Elle était très belle avec sa toison d'or et ses perles noisette. Elle aurait pu figurer sur les tableaux qui ornaient les murs de ce palais.
- Je réitère ma question : que faites-vous dans ma chambre ? - Je cherchais des bijoux. - Qui êtes-vous ? - Personne. - Qui êtes-vous ? - Cela ne vous concerne point. - Lasia esserna
Une branche sortit du sol et entoura la gorge du voleur qui répondit d'une voix quelque peu étranglée :
- Je m'appelle Natsu...
Lucy se figea. Il était ce voleur insaisissable qui hantait Paris. Tout comme cette femme aux cheveux rouge nommée Erza. Décidément, la racaille faisait la loi dans ce pays. La jeune femme tourna autour du voleur.
- Pourquoi voler mes bijoux ? - Pour les revendre.
La princesse le savait, elle voulait savoir pourquoi s'en être pris à Versailles. Dans le couloir, des voix et des pas pressés se firent entendre. Un sourire éclaira le visage de Lucy. Ce garnement finirait enfin où il devait : dans la Seine. Mais Natsu n'en avait pas décidé ainsi et s'enflamma. Tout son corps pris feu et les branches qui le maintenait tombèrent en cendre. Il partit vers la fenêtre et posa sa main sur les racines qui débloquèrent la fenêtre. La princesse tenta de l'arrêter mais il la regarda et lui dit :
- Ne vous en faites pas, nous nous reverrons.
Puis il sauta.
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Dernière édition par Sheila Phénix le Dim 6 Sep - 13:45, édité 3 fois
Janus Voliakov « Détective Fée mène l'enquête ! »
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Sujet: Re: Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~ Mar 26 Mai - 20:43
Ça sert peut-être à rien de commenter puisque c'est que le début mais je suis commentateur invétéré x)
C'est cool l'idée de placer Fairy Tail à cette époque, hâte de voir la suite. ^^
Sheila Phénix « Désolée, je me suis perdue dans ma chambre... »
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Sujet: Re: Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~ Mer 10 Juin - 16:30
Merciii ♥
ça fait toujours plaisir de recevoir des commentaires !!
J'ai mis la suite si tu veux :)
Ella Blow « Je farme mais je drope rien, buff-moi »
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Sujet: Re: Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~ Dim 21 Juin - 15:46
Sheila Phénix a écrit:
- NON ! se défendit Macao. J'ai un fils, je suis la seule personne qui lui reste ! Que va-t-il devenir si vous m'emmener ?
Ooh, ça laisserai entendre que Roméo va apparaître dans la fic ?!♥ Bonne continuation en tous cas !
Sheila Phénix « Désolée, je me suis perdue dans ma chambre... »
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Sujet: Re: Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~ Dim 21 Juin - 16:08
Oui il fait quelques petites apparitions de temps à autre !
Et merci !
J'ai mis le chapitre 3 ^^
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Sujet: Re: Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~
Les petites histoires d'une fille qui s'ennuie en cours ~